Eolise a réalisé son bilan carbone®

Le résultat de ce bilan carbone® montre que la société Eolise a émis 70 tonnes équivalent CO2, sur l’année étudiée (2023). Cette analyse intègre les scopes 1, 2 et 3, c’est-à-dire les émissions directes et indirectes (voir l’explication en bas de page). Ces émissions sont liées principalement aux amortissements de certains achats (nommés « immobilisations » sur le graphique), en particulier les mâts de mesure de vent ainsi que les anémomètres, qui sont installés sur les zones d’étude de nos projets.

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Dans le détail, on constate que :

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Ce bilan carbone reste relativement bas (en raison de notre cœur de métier de développeur) mais nous avons étudié des pistes de réduction de nos émissions. Pour rappel, la stratégie nationale bas carbone (SNBC) prévoit la neutralité carbone en 2050, il y a donc beaucoup à faire (et nous n’allons pas attendre 2049 pour commencer ).

Nous prévoyons déjà de mesures à fort impact que nous déclinerons en 2025 et dans les prochaines années.

Merci à Maximilien Petitgenet  et Purple Pepper | Cabinet de conseil en durabilité pour l’accompagnement et l’expertise dans cette démarche.

Focus : Scope 1, 2 et 3, qu’est-ce que c’est ?

Les catégories scope 1, scope 2, et scope 3 se réfèrent aux émissions de gaz à effet de serre associées à une organisation :

  • Scope 1 : Il correspond aux émissions de gaz à effet de serre (GES) directement émises par les activités de l’entreprise. Il s’agit des émissions directes de gaz à effet de serre issues de combustibles fossiles (pétrole, gaz, charbon…) ;
  • Scope 2 : Il couvre les émissions de GES indirectes associées à la consommation d’énergie, qui surviennent en dehors des installations de l’entreprise. Il englobe les émissions indirectes résultant de la production d’énergie achetée et consommée par l’organisation (électricité et réseaux de chaleur / froid) ;
  • Scope 3 : Il inclut les émissions de GES indirectes qui échappent au contrôle direct de l’entreprise, englobant souvent les activités en amont et en aval de la chaîne de valeur. Ces émissions couvrent une gamme plus large et incluent les émissions indirectes qui résultent des activités de l’organisation, mais qui se situent en dehors de son contrôle direct : produits et services achetés, transport et logistique, déchets, etc.

Source : BPI France (lien)

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